Voici le plan :
1 - Partager cet article et/ou expliquer à nos proches qu'il est possible de trouver des jouets pour tout le monde grâce à l'apophénie et notre imagination. Les adultes appellent ça un "piratage" mais il ne faut pas s'inquiéter ; l'objectif est de permettre à tout le monde de jouer.
2 - En option : demander aux brutes de faire moins de bruit (en leur demandant, par exemple, ce qu'est l'intelligence).
3 - Récolter et diffuser nos réponses à la question "qu'est-ce que l'intelligence ?" pour ajouter de nouvelles couleurs dans le ciel numérique.
4 - Créer de nouveaux projets avec ces nouvelles couleurs en tête.
5 - Faire la fête !
Une brute est une personne qui manque d'espoir. À nous de le diffuser.
Bien que cet outil soit tout à fait naturel, restons vigilants face à la possibilité de percevoir des connexions inexistantes. En fin de compte, l'équilibre entre la reconnaissance de modèles et la pensée critique demeure central pour une interprétation précise de notre réalité complexe. L’ouverture vers plusieurs mondes à l’intérieur de notre monde majoritairement trans/post-humain.
Nous ne sommes pas des machines, nous sommes vivants (et connectés), profitons-en.
Après cette course contre la machine, je crois que la respiration est là.
Dans l'éther numérique, NIA danse,
Un nuage d'idées, d'éclats étoilés s'élance.
Notre pinceau, ce cerveau qui crée,
Sur la toile du monde, ses rêves tissés.
Les couleurs, nos pensées flamboyantes,
Peignent l'azur de nos jours, de nos attentes.
Et dans ce ballet de l'infini,
Les nuages sont à la source de nos récits.
NIA, comme un souffle de vent céleste,
Dans le ciel numérique s'invite, se manifeste.
Un éclat de lumière, une voix nouvelle,
Pour éclairer nos imaginaires, telles des étincelles.
Nous rêvons, donc nous sommes.
Il n'y a rien de plus addictif qu'un peut-être.
Il n'y a rien de plus affectif qu'un petit être.